samedi 15 décembre 2012

CHRONOLOGIE DES FAITS

     Qui était Jean-Eudes : Toute sa famille et ses ami(e)s en ont témoigné : Il était quelqu'un de gentil,  attentionné, il aimait la vie et avait beaucoup d'ami(e)s et de centres d'intérêt dont la lecture, le cinéma, les concerts (comme les jeunes il allait voir des concerts en plein air ou en salle, de ses chanteurs ou groupes préférés : concert de Rock en Belgique en Juillet ),  le tennis de table ( 3 fois champion d'Auvergne ), le tennis, la randonnée en montagne,....etc... il venait de se mettre au surf en août 2008 .....

- Juin, Juillet et Août 2008 :

   Qu'a fait JE cet été ? :. Il n'a pas eu un week-end non occupé. J'ai même donné la liste depuis juin 2008 aux enquêteurs.Il est évident qu'il n'avait AUCUNE idée suicidaire mais plein de projets pour aller voir des camarades ( David en Thailande et Matthieu au Canada : il en est fait état dans ses mails récents, mails qui n'ont pas été versés au dossier malgré plusieurs demandes  ).

- Samedi 30 août : Jean-Eudes fait une randonnée au sommet du Mont Valier ( 1900 m de dénivelé positif ) dans les Pyrénées en compagnie de sa camarade F. ( photo de JE sur page d'accueil "Avertissement" ). ils ont fait ça dans la journée alors que les guides recommandent 2 jours. C'est dire la "pêche" physique qu'il avait.

Mois de septembre 2008 :

- we du 6 et 7 sept : Voyage en TGV pour aller voir son frère au Havre. Il passe au passage à niveau de St Rustice où son corps sera retrouvé 3 semaines plus tard.

- we du 13 et 14 sept : visite à ses parents et sa jeune soeur à St Germain Lembron,

- we du 19 au 21 sept : surf à Hossegor avec sa soeur ainée et son compagnon,

- semaine du 22 au 26 sept : semaine de travail normale à Mercator Océan à Ramonville (Sud de Toulouse)

               - lundi 22 : en vue d'un contact avec son ami d'enfance David vivant en Thailande, il crée sa page netlog sur invitation de David  netlog de Jean-Eudes  . Le soir il sort en ville avec son copain Pierre B.

               - mardi 23 : en fin de journée il achète chez Décathlon un duvet montagne en vue d'une randonnée dans les Pyrénées le week-end du 27-28 sept ( duvet dans son placard et bon d'achat sur son bureau )

               - mercredi 24 : le serrurier vient à son studio après le travail pour refaire des clefs de boite aux lettres égarées lors de son voyage au Havre ( facture du serrurier sur son bureau )

               - jeudi 25 septembre 2008 :

               Il remplit une carte de fidélité Décathlon et envoie le double, suite à son achat du duvet du mardi 23 sept 2008 ( 2 jours plus tôt ). 


              
               Journée de travail normale à Mercator Ocean( témoignages des collègues ) et de son camarade Pierre B. avec il mange à midi en parlant de leur we de randonnée prévue pour le we du 27 et 28 qui arrive  ( il fait très beau, ils mangent un sandwich à l'extèrieur, au soleil, en tee-shirt ). Vers 16h il prend un café au distributeur de boissons en compagnie de Pierre B. et d'un autre salarié d'une société voisine à qui il a transmis des données océanographiques.

                Cette randonnée a été organisée par Jean-Eudes ( itinéraire grâce à  ses topo-guides et à sa connaissance du terrain ) et Pierre B. qui a contacté d'autres ancien(ne)s camarades de fac de Toulon (master 2 MISSAO en 2005-2006).  

                Son collègue de bureau G. V. lui dit au revoir à 17h30, tout est normal après une journée normale (1). 

11 février 2013 : Tout ce qui est écrit à partir d'ici est FAUX et caduque popur cette fin de journée du 25 sept, mais OK pour le 26 sept. Jean-Eudes n'a jamais pris sa voiture pour aller à cette écluse ce soir du jeudi 25 septembre 2008. Un homme avec pantalon  et veste GRIS, de 30 à 40 ans, était au volant de sa 205 et Jean-Eudes n'y était pas. Il faut donc trouver où elle a été interceptée et quand JE s'est fait voler ses clefs. Il est sorti entre 17h30 et 18h du travail proche de son domicile à Ramonville. C'est donc à Ramonville au Sud de Toulouse qu'il faut chercher ce qui lui est arrivé. C'est ce que nous allons faire ( pas la gendarmerie ni la justice Toulousaine qui a tout fait pour saboter cette enquête ) : NOUS c'est la FORCE TRANQUILLE qui va faire TOMBER tous ces pourris qui gravitent autour de cette sordide affaire et qui n'en étaient pas à leur coup d'essai.

        Décidement, à Toulouse, police gendarmerie et Justice sont corrompus AD VITAM ETERNAM.... mais ça va bientôt changer, parole d'AUVERGNAT. 

                Jean-Eudes prend sa voiture ( 205 rouge immatriculée dans le 63 ) et se rend à l'écluse d'Embalens. Pourquoi ? Il est habitué de ballades le soir après le travail par beau temps ce qui est le cas ce jour-là. Passe-t-il à son studio avant d'aller à l'écluse ? prend-t-il l'autoroute (pas de ticket de péage trouvé)?

                Son ? ( pas certain que ce soit lui ) arrivée à l'écluse d'Embalens vers 18h30 / 19h (témoignage de Mme P. dont le mari vient de partir avec son fourgon, à 18h30 pétantes, pour sa tournée nocturne de livraisons) :



               
               Le parking à droite ( avec la 205 rouge garée au fond......pourquoi au fond ? ). Je suis allé au même endroit lorsque j'ai récupéré la voiture. Photo prise du pont. à gauche, la maison de l'éclusier.

               Jean-Eudes se gare au fond du parking face au au passage réservé au personnel des VNF situé sur la porte Sud, côté Toulouse, de l'écluse, mais voyant "interdit. passage réservé au personnel", il longe l'écluse et va traverser le pont sur lequel il vient de passer en voiture.

               Une fois le pont traversé il se dirige vers la maison éclusière et la péniche amarrée un peu plus loin ( ce qui est inhabituel pour les promeneurs qui restent du côté parking où se trouve la piste cyclable : remarque de Madame P. ).

              26 janvier 2013 : Après avoir discuté longuement avec l'éclusier et sa compagne je ( père de JE ) tiens à préciser que  lorsque leur chien a jappé dans  les jambes de Jean-Eudes, l'éclusier n'est pas sorti immédiatement pour lui parler, car il n'avait pas de RV avec quelqu'un ce soir-là pour la vente de la péniche-logement amarrée prés de l'écluse. Il est possible que JE avait vu cette annonce dans internet en cherchant des locations de péniche-logements à Toulouse ( ne connaissant pas cette écluse il a pu avoir l'idée d'aller la voir en se baladant, sans pour autant vouloir la visiter, étant donné qu'elle était à vendre et pas à louer MAIS il faut remarquer que le lieu où elle se trouvait n'était pas indiqué sur l'annonce internet, il fallait téléphoner pour avoir l'adresse..... donc une question en suspens ici !!!! ).

              Donc, après avoir fait 1/2 tour à cause du chien de l'éclusier, JE s'est dirigé vers le long du canal derrière la maison garde-barrière de Mr et Mme D. où une autre barge-dragueuse rouillée est amarrée un peu plus loin. 

               Il portait un polo de marque" The North Face" (2), il avait sa polaire verte sur les épaules et son  téléphone portable à la main. Il faisait très beau et chaud mais les nuits étaient fraiches cette semaine-là.

               Madame P. ( témoin n°1 ) qui a rapporté cette scène rentre dans sa cuisine et affirme ne pas savoir ce qui s'est passé après

              Les témoins n°2 et n°3 ( éclusier et sa compagne ) eux n'ont plus, ne savent pas ce qu'est devenu Jean-Eudes. Il n'est pas retourné à sa voiture. Le chien de l'éclusier n'a plus aboyé de la soirée ou de la nuit, ce qu'il fait pourtant si une personne franchit le pont de l'écluse à pieds, ce qu'aurait dû faire JE s'il était retourné à sa voiture à tombée de nuit ou dans la nuit. Donc il n'est pas revenu de derrière chez le retraité SNCF de la maison garde-barrière. Le retraité SNCF dit ne pas avoir entendu ni vu qui que ce soit, mais j'ai ( père de JE ) testé cette zone de jour et les 2 chiens du retraité SNCF ont aboyé lors de mon passage et de nuit un projecteur halogène très puissant s'est déclenché lorsque j'ai franchi la zone arrière de la maison jusqu'au canal. ( j'ai aussi d'autres informations que je ne peux pas mettre ici, qui prouvent qu'ils mentent )

              J'ai demandé à être confronté au retraité SNCF à sa femme et au fils, mais les juges n'ont jamais donné suite à mes demandes bizaremment, comme s'ils craignaient une contradiction, voir plusieurs au cours des confrontations ( et c'était très facile de les mettre devant leurs contradictions ).         

(1) : lien vers mail G.V.
(2) : lien vers photo polo
(3) : lien vers auditions témoins n°1, 2 et 3


                Plusieurs hypothèses sur "pourquoi JE est allé à cette écluse" et  "que s'est-il passé après son arrivée à l'écluse" sont possibles que nous n'évoquerons pas ici pour l'instant.

               Ces hypothèses pourront être fournies en message privé sur identification précise du questionneur.

               - vendredi 26 septembre 2008 :

               Sur la voie ferrée Toulouse-Montauban, parallèle au canal, 140 trains sont passés sur les 2 voies et dans les 2 sens entre 19h, le jeudi 25  et midi le 26 septembre.

               A midi 10, une locomotive seule ( Haut Le Pied ) monte de Toulouse sur la voie 2 côté canal ( à gauche ) avec 2 conducteurs à bord. Soudain juste après le passage à niveau PN180 de St Rustice, ils voient un corps au milieu de la voie et s'arrêtent ( il faut savoir que 15 trains sont passés avant eux dans les 2 sens entre 10h et midi sur cette seule voie, car l'autre est bizaremment fermée depuis 10h du matin pour travaux caténaires ). Ils préviennent le régulateur SNCF puis les  pompiers et les gendarmes de Fronton (ville la plus proche). Le chef de district SNCF arrive sur les lieux, 10 minutes plus tard et découvre un cadavre sec et froid. Les 2 conducteurs sont très choqués vu l'état du corps et surtout d'un cadavre ( spectacle inhabituel lors d'un "accident de personne" ). Très choqués par ce "spectacle macabre", ils déclarent ...ou bien "on" leur fait dire... que le cadavre ( c'est le terme employé qui ne décrit pas un corps ensanglanté qui vient de passer sous un train, car il est sec et aucune trace de sang ne se trouve ni sur le corps, ni sur le ballast : il n'est pas mort sur le voie ferrée ), a du être écrasé et découpé par les roues d'un train passé avant eux.

voyage en cabine TER de Grisolles à Saint Jory

               Gendarmes et pompiers de Fronton arrivent à 12h45. Le SAMU arrive de Toulouse à 13h et le Dr J. constate le décés et signale une réserve par examen médico-légal sur son constat de décés, et il repart.

               La zone d'ombre se trouve dans cette plage horaire de 19h à midi : qu'a fait Jean-Eudes durant toute la nuit et la matinée ? Difficile d'imaginer qu'il a attendu entre canal et voie ferrée toute la nuiit à 10°C et toute la matinée pour se suicider sous un train à 11h45 comme l'ont écrit dans leur conclusion les gendarmes de la BR de Toulouse (qui savent parfaitement ce qui  s'est passé mais ont reçu l'ordre de verrouiller l'enquête en suicide).  

              De plus cette thèse est impossible vu le nombre important de trains, leur ralentissement entre 10h et midi et l'état du corps froid à midi 10.

               Cette question sur la plage horaire de 17 heures entre 19h et midi n'a pas été fouillée par les enquêteurs de la BR de gendarmerie de Toulouse, ni par la Justice malgré de nombreux indices à vérifier fournis par le père de Jean-Eudes

               Cette semaine-là il faisait très beau la journée ( 20°C) mais les nuits étaient très fraiches ( 10°C ) selon les relevés de météo France. On peut donc imaginer que JE n'a pas pu passer la nuit entre le canal et la voie ferrée malgé sa polaire. Il y fait froid et humide..

               Une certitude : à 5h du matin sa voiture était toujours au même endroit sur le parking et personne n'était à l'intèrieur. Mr P., mari du témoin n°1 a indiqué celà au père de JE car il arrive de tournée de livraison à 5h du matin et se gare sur le parking de l'écluse. Ce Monsieur n'a jamais été interrogé par les gendarmes !!!

              D'autre part, le conducteur du dernier train de fin de matinée ( Corail TEOZ Cerbère-Paris 3630 ) passé vers 11h45 le vendredi 26 sept 2008 a indiqué aux enquêteurs n'avoir heurté, ni vu aucun corps sur la voie côté canal, ce conducteur a indiqué au père de JE par communication téléphonique, que la nuit ils voient même un lapin dans leurs phares puissants et que de jour il est impossible de ne pas voir un corps humain ou un animal et qu'ils ont pour consigne STRICTE de s'arrêter pour tout "objet" découvert sur la voie !!!! Le chef de district Mr Z. venu sur les lieux demandera à témoigner devant la justice pour confirmer ces dires ( ce jour-là il a coché la case "suicide" parce que le gendarme TIC présent le lui a dit - étrange comportement du TIC qui affirme "suicide" devant un étrange cadavre sur la voie publique découvert en plein jour  à midi par grand beau temps - ), son audition sera refusée 3 fois par la justice ( instruction du juge Ph.C. et du juge P. et en appel, Présidente J.C. ).

Lien vers témoignage du Chef de District SNCF Mr Z. ............... ( à joindre )


              Donc, si JE s'était fait happé de nuit par le côté des wagons d'un train de nuit, il aurait été projeté sur le bord de la voie et pas découpé par les roues au niveau des genoux ( ce qui correspond à un passage allongé en travers de la voie ferrée ). Ce scénario proposé par le juge Ph.C. est incohérent et impossible.  

              Le corps n'était pas au bord des voies lors de sa découverte donc pas happé par le côté. 
   
              Je suis ( père de JE ) resté une matinée entière, agrippé au poteau caténaire ( pour me pas me faire "aspirer" c'est-à-dire "happer" ), à l'endroit où le corps a été découpé par les roues : TOUS les trains ( une vingtaine ) qui sont passés dans le sens montant Toulouse-Montauban m'ont klaxonné et ont fait des appels de phare.

Lien vers "plan de découverte du corps" ........ ( à joindre ) .........................

              L'adjudant de gendarmerie OPJ (officier de police judiciaire) H., sur demande la procureure L. appelle l'IML ( institut médico-légal ) de l'hopital de Rangeuil à Toulouse pour qu'un médecin légiste vienne constater l'état du corps. Bizaremment, il n'arrive pas à obtenir le déplacement de ce médecin légiste. La procureur L. refuse toute évacuation du corps tant que le médecin légiste n'est pas passé.

              Mais, à 14h, alors que la circulation des trains est bloquée depuis prés de 2 heures sans aucune action, les gendarmes TIC de la BR ( Techniciens en Investigation Criminelle ) de Toulouse arrivent en compagnie de 2 autres gendarmes de la BR.

              Les TIC font alors des relevés sur la position des éléments ( corps, vêtements, téléphone portable, CB et clefs ) trouvés sur le ballast et les voies ferrées.

              A 15h30 le corps est évacué par  les pompes funèbres. Le trafic est totalement ouvert après plus de 3 heures d'interruption.

             Des anomalies seront constatées lors de la découverte du dossier par les parties civiles, un an plus tard, en septembre 2009, après avoir porté plainte contre X pour homicide volontaire en août 2009 ( une consignation de 4000 euros a été demandée aux parents de Jean-Eudes pour avoir droit à une enquête minimum qui n'a pas été faite durant 9 mois ) 
            
              => Voir "la plainte et l'instruction"

             Une enquête approfondie, donc dirigée par un juge d'instruction, c'est un minimum auquel la famille a droit dans un tel cas où personne n'a vu Jean-Eudes se jeter sous un train, et où la découverte d'un cadavre sec et froid, sans traces de sang, est pour le moins très étrange et inhabituelle. ( un corps mort, refroidit de 2°C par heure environ mais pas du tout durant les 2 1ères heures. Il était donc bien mort depuis plus de 6 heures - début de rigidité - , vraisemblablement en début ou en cours de nuit. Une demande de vérification de mort par noyade ou étouffement n'a jamais été réalisée; elle génait surement ces Messieurs gendarmes et magistrats dans leur "suicide" ).

lien vers rigidité et diagramme de refroidissement d'un corps ...... à compléter ....

              => Or seule une "enquête préliminaire" a été diligentée uniquement à cause de l'envoi de la LRAR de protestation au procureur de la République de Toulouse, par le père de Jean-Eudes fin octobre 2008.


...... à compléter ............

1 commentaires:

À 4 mars 2013 à 14:42 , Blogger Jean Lombard a dit...

4 mars 2013 : les commentaires sont autorisés.

 

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